Stabilisation dans l’immobilier de luxe

Depuis trois années, les prix de l’immobilier de luxe ont diminué de façon importante. La capitale a globalement résisté, du moins plus qu’en province où les prix ont été divisés de moitié.

Faut-il en profiter ?

Comme les prix se stabilisent actuellement, mais que les vendeurs n’ont toujours pas d’offre, il est encore possible de faire de bonnes affaires en négociant les prix à la baisse.
Comme l’immobilier ancien a chuté de 30% depuis 2012, l’immobilier de luxe a perdu 70%, ce qui peut être important dans une perspective de stabilisation et de future progression.

Où faire de meilleures affaires ?

Il faut bien évidemment se tourner vers les régions qui ont été le plus impactées par la baisse généralisée des prix, en particulier celles qui ont une offre importante de résidences secondaires, comme la Dordogne ou le Périgord.

Mais attention à ne pas courir après la bonne affaire, car il faut prendre en compte la demande actuelle et la future demande sur des données fiables. Ce n’est pas parce que le bien valait 80% le prix annoncé en 2011, que vous pourrez vendre votre future acquisition à ce prix dans 10 ans.

Bien que les Russes aient quelques peu quitté l’investissement immobilier dans l’hexagone avec la chute du rouble et les tensions politiques, que le contexte fiscal freinent certains investissements étrangers et français, les américains reviennent grâce à la baisse de l’euro.

Attention donc sur ce marché qui comporte encore de nombreuses incertitudes.